La voix du silence
la voie des souffrances…
Mortelle existence
dans la répugnance
de ces ignorants ;
et qui sans nuance

jouent la décadence 
empli d’impuissance.
De leur bienséance
nulle bienfaisance !
Par leur malveillance
laissent la béance…
C’est une aberrance !
La concupiscence
fait une alliance
Aux frotteurs de panse.
Des vœux de plaisance
vus comme une chance
qui laisse en errance
corps que l’on balance
comme une pitance..
L’âme en déshérence
fuit la résistance.
Morte tempérance
oublie délivrance !
Peu de contenance
a qui croit qui pense.
Vague soutenance
des mots qu’on vous lance
plein d’inélégances
pitié et malchance.
Survient la méfiance
et la vigilance
des correspondances.
La voie du silence
sans décontenance
pour la subsistance
de toute espérance…..

FELL THE COLD LIGHT OF THE PALE MOON
RUNNING SWIFT TROUGH THE CLOUDY GLOOM
DREADFULL WHISPERS WHITH EVERY MOVES
RESTLESS SOULS RUNS THE FOGGY GROOVES
SPIRITS FIGHTS THE REALITY
FLAMES AND SMOKES CHEAT WHITH GRAVITY
THERE IS NO SOUND NO SILENCE TOO
ONLY PRESENCE OF THE BAYOU
TO FLEE OR STAY THERE IS NO CHOICE
THE SHADOW FADE AS SO YOUR VOICE

.

SEE MY DARK HEART UNDER THE STONE
DISPAIR RUSHES AND QUENCH MY BONES
POISON OF LIFE RUNS THROUGH MY VEINS
I TAKE MY PRICE DISEASE AND PAINl
NIHILISM MAKE UP MY BRAIN
LAUGH IN MY SKULL THE CURE IS VAIN

Quand je ferme les yeux, je l'attend et observe

Son regard comme vague, son âme dans le vide

Quand sa pensée se perd,  prend naissance sa verve

Une allégorie sombre sur une peau livide

Odieuse et gracieuse, dansant dans le sarcasme.

J’embrasse sa tristesse et retiens ses émois

Sautillant sur ses mots, au-dessus du marasme

J’en adoucis le ton, en les rendant moins froids

Mère, laisse nous t’accompagner vers les ombres
En ce jour égal à la nuit
Nous amassons les récoltes pour les jours sombres
Et Lug laisse place a Taranis

Oh mère, doucement tu t’endors quand il fuit
 Nous honorerons tout le fruit
Le fruit de ton ventre, les semences de Cernunnos
Tout ce qui est né de vos noces

La sagesse a sa place, et le calme revient
La nature Médite soudain
A nous de savoir poser les bonnes questions
Pour enfin être en communion

Et c’est par la terre que je survivrais
C’est par les airs que je respirerais
L’eau m’apportera toute la quiétude
Le feu réchauffera ma solitude

Gloire aux éléments, gloire à la nature
Qui nous offre en tout temps sans fioriture
La force de vivre et celle d’aimer
Et faire Germer ce que l’on a semé

Oh mère endors toi, nous veillerons sur toi