Le temple de pandore

25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 15:55

reveillez moi

Réveillez moi de mes songes
Sortez moi de mes réveils pleins de mensonges
Laissez moi vivre et mourir au fil de mes envies
Recréez moi les rêves de mon enfance
Où m'attendait un prince et des joies immenses
Je ne suis devenu qu'une âme sans vie
Et quand la mort viendra me chercher
Elle saura que je l'ai toujours caressée

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25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 15:38

Les mille et une tourments

La litanie des esprits damnes'
Les amours impossibles dans l enfer adore'
Colere tristesse c est le chant des demons'
Les milles et uns tourments'
sont ainsi'
Et ainsi va la poesie de la vie'
La crise solitaire d une ame en detresse '
A vous sont les ecrits de la poetesse'

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22 août 2007 3 22 /08 /août /2007 02:47

LAISSE

Laisse, Laisse le désespoir t’envahir

Ne pense plus bloque ton âme

Oublie ce qui calmera ta douleur

Et laisse la souffrance te pénétrer

Oui te pénétrer et couler en toi

Comme l’amer suc du male

Dont le goût est différent a chaque fois

Et dont l’intensité diffère de tes ressentiments

Prend en toi ce plaisir malsain

Que depuis longtemps tu gardes en ton sein

Presse le fais en ressortir le jus

Oui le jus du désespoir celui qui te va si bien

Celui pour lequel tu restes accroché

Comme le frêle pantin que tu es

Certes fait de chair et de sang

De sang de sang destiné a couler

Goûte a la souffrance comme on goutte un fruit mur

Baisse les yeux, non, non, ferme les

Que j’entre en toi dans un exquis soupir

Abandonne toi et laisse toi mourir

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22 août 2007 3 22 /08 /août /2007 02:36

Reflexion amoureuse

Quel sentiment abject que peut être l'amour...

Son but étant contraire, il fait quand même souffrir

Jamais assez grand et parfois trop lourd

Il fait craindre a chacun le pire

Ce mécréant qu'est l'amour est parfois si beau....

Mais tellement sujet aux reproches

Que pour le comprendre, il faut se lever tôt

Et que les amoureux ne sont jamais assez proches

Vouloir et pouvoir peuvent parfois sembler synonyme

Ils savent, parce qu'ils donnent 'espoir, faire plaisir

Mais sont ils tout juste bons à faire des rimes

Cependant, il y a un décalage entre faire, dire, écrire

Dans Pouvoir résonne la capacité, en amour les faits

Vouloir, lui, est rattaché a l'effort

Le premier semble montrer un acquis, du dédain, une possibilité

Alors que l'autre demande une introspection qui rendra l'être plus fort

Vouloir c'est en amour, essayer, se donner, partager

Pouvoir lui, c'est tout juste se donner la peine

Les quelques mots accrochés ont été voulus pour l'aimer

Mais je peux dénoter un certain mépris digne d'une reine de scène

Tu as essaye et c'était très beau car tu as voulu montrer

Que tu m'aimais mais le pouvoir amène a l'illusion

De t'en demander trop, de vouloir sans cesse te faire démontrer

Cet amour au risque de ne pas donner assez et perdre ainsi la passion

Même si tu veux tu peux pas forcement

Mais l'autre sait faire la part des chose en t'aimant....

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22 août 2007 3 22 /08 /août /2007 02:12

VIDE

C'est un vide, un vide sans fond

Un vide qui me détruit

Une espérance plus haute qu'un mont

Mais, pour n'être qu'un vide, me fuit

J'ai quelque chose en moi, il est inquiétant

J'ai quelque chose, un sentiment

Trop fort voire même a faire peur

Cela m'inspire la plus grande terreur

Un amour volatile comme un oiseau

Qui ne revient jamais, ne reste que les eaux

De mes pleurs désespérés

D'avoir un jour trop espérer

De croire un jour que j'aurais

Quelqu'un que jamais je n'aurai

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21 août 2007 2 21 /08 /août /2007 14:03

Les mots

Pourquoi supprimer les mots pour effacer les maux? Alors qu'ils sont là pour exprimer la souffrance, le spleen, ce mal métaphysique, ce dégoût de soit et de ce qui nous entoure. Les radier, c'est aliéner l'esprit et la pensée au néant et donc ainsi ne plus être. Ne plus être pour ne plus souffrir, pour ne plus ressentir et perdre par la même occasion l'illusion d'un bonheur aussi fugace que futile soit il. Les mots sont la clé de nos songes et de nos mensonges, de nos espoirs et de notre découragement. Mais faut-il qu'en face on veuille les comprendre... Car les mots n'ont pour seuls attraits l'autre....

A quoi bon serviraient ils s'il n'y avait pas l'autre. Peu importe qui soit l'autre du moment qu'il ressente et que l'on ne soit pas totalement incompris.

Papa, maman, ces premiers mots qui montrent l'être a part entière et qui disent "j'existe". Simples et déjà ignores parfois ...ils expriment dès le départ la souffrance, un manque, un désir de ce que l'on a pas. Je veux parce que je n'ai pas; La souffrance est des lors la première chose que l'on ressent en tant qu'être de conscience et sans les mots, personne ne le sait.

Exorcisme suprême que son les mots, Esprit polymorphe que je suis, angoissée, colérique, triste, révoltée, dépassée de tant de souffrances cachées sous un masque de gentillesse implacable de disponibilité et de réflexion parfois subtiles.

Seulement le temps use, le vernis craquelle et révèle une âme tourmentée et chaotique que les mots de tous les jours ne peuvent contenir car ils ne sont pas assez forts laissant exploser une mélancolie incoercible que même les pleurs ne peuvent apaiser. Encore la les mots permettent d'exprimer cet état ou les yeux miroirs profonds ne perçoivent que des paysages bucolique ou l'expression du futur est une abomination, le présent une source de douleur perpétuelle et le passé, un regret omniprésent....

Mon spleen, ma vie, mes mots car les mots constituent la vie....TEMPLE SACRE...

Le silence est lourd et plein de sous entendus ...il est comme la damnation. Ainsi mieux vaut le tombeau qu'une vie sans mots........

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19 août 2007 7 19 /08 /août /2007 20:11

esclavage

Lie moi et délie ta langue acérée

Me prenant au juste de tes obscénités
Meurtris ma chair pour laisser échapper
Quelques douloureux soupirs existés

De n’être que l’objet de tes pulsions
Les plus intimes, les plus vils de la création
Attache mon cœur et mon corps au rythme
De tes vas et viens qui me déciment

Tu me veux, je suis à toi dans toute la violence
De l’acte avec parfois mépris et silence
Empli mon cœur et mon corps de ta présence
Fais moi le plaisir de te laisser guider par tes sens

Je ne serai plus que l’esclave de tes nuits
Jouis de me voir devenir ce que je suis
Un oiseau blessé qui depuis ne peut plus voler
Et qui a appris dans sa douleur la manière de se réconforter

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19 août 2007 7 19 /08 /août /2007 20:00

instant du bonheur

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19 août 2007 7 19 /08 /août /2007 14:53

qui suis je?

Par où commencer, par quoi, pourquoi? Je ne sais pas ou je ne sais plus....
Peut être déjà par le fait que j'ai toujours eu la sensation que je ne vivrai pas longtemps...
peut être parce qu'au final, au fond de moi, je ne le souhaite pas...
J'ai toujours attendu pour presque tout et je me dit que la seule qui ne me fera pas défaut,
c'est bien la mort! quand? C'est bien la la question...elle serait bien capable de me jouer des tours,
l'attendant quand je la souhaite et venant quand je n'y pense plus....versatile deconvenue....

Je n'ai beau avoir que l'age que j'ai mais je suis lasse parfois, l'attendre ce n'est ni de la
bravoure, ni de la lacheté, c'est juste qu'elle serait presque la bienvenue pour pouvoir
fermer les yeux a tout ce qui se prépare...pour ne garder que ce qui a remplis le vase.

Pour un esprit comme le mien toujours en perpetuel questionnement sur moi et tout ce
qui compose ma vie et les choses qui m'entourent, l'accumulation de déconvenue et de
desappointement paraissent insupportable alors que sans doute je ne suis pas la seule,
certain vivent des choses bien pires...peut etre ne sais je pas apprecier ce que j'ai dans
ma quete d'ideal....

Je me dit ne pas avoir ete gate ou du moins peut etre n'ai je pas fait bon usage de ce
qu'on ma transmis dans le bon comme dans le mauvais. Toutes ces belles phrases
pour ne pas entrer dans le vif du sujet, tout ca pour ne pas aller au bout des choses.
Et ca effectivement c'est de la lachete, peut etre suis je incapable d'evoluer malgre tout.
Peut etre que je m'accroche a ce qui me fait du mal. Peut etre que je m'y complait.
Peut etre que je le provoque...je suis incapable d'y repondre.

J'ai souvent refoulé contrairement a ce qu'on pense, et dans tout ca je m'y suis perdue
au point d'en tronquer la réalité. entre sentiments de desespoir de violence d'amour et d'envie.
Peut etre ai je envie d'une gloire mal placée comme celle de ma grand-mere dont je porte le prénom.
Ou de celle de mon père qui lui s'est suffisemment oublié pour y passer..

J'ai peut etre rate quelque chose dans mon passe peut etre ai je mal aborder l'un des cycles septennaires.
Peut etre ai je manque de ce que je souhaite encore ...du contact. je n'arrive pas a me
souvenir des gestes, des mots que j'ai eu avec mes parents. J'etais incapable de me
souvenir quand avas je prononcer je t'aime a mon père et je suis incapable de me souvenir
outre qu'au décès quand l'avais je dis a ma mere je sais lui avoir signifier mais je suis incapable
de me rappeler l'instant et les circonstances. Je me souviens de mes jeux d'enfants avec mes copines
, de l'ecole de pas mal de chose exterieur au cocon.Je me souviens vraiment et disons sans plaisances
de ces moments de violences , des corrections, des punitions mais rarement de ces moments de tendresses.
J'ai meme l'impression que si ils ont eu lieu ces moments, je l'ai ai occulté quasi instantannément
pour ne retenir que ma souffrance

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10 août 2007 5 10 /08 /août /2007 11:34

lui (l'apathique)

 Il pensent que fuir c'est se perdre devenir dément. 
 Qu'importe les chemins, seule la liberté l'attend
 Les hommes souvent perfides le regardent impatient.
 Ils pensent qu'il ne tiendra pas que son rêve lui ment
 
 Mais sa vie n'est pas là, deux milles pour en être là 
 Sans saveur, des amours éphémères, des passions d'opéras 
 Des grandes phrases, des conquêtes inutiles. Il est Las. 
 Il part, pour un rêve, aimant son âme et tous ses dégâts  
 CR armand

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