Il n’y a pas de pardon, Il n’y a pas de douceur
Il n’y a que démons, il n’y a que douleur
Ce n’est pas le vent, ce n’est pas la bise
Qui donne les frissons, je vous en avise…
De Ces cris aigus que vous entendez dans la nuit
Traversent les campagnes, explosent en foret en étranges bruits
Prenez garde…. aux chasses infernales
Elles annoncent parfois des événements fatals
Les esprits de l’air rejoints des démons traversent
Le ciel en hurlant, provocant des terreurs perverses
Funestes moments, Funeste besogne
Quand le diable rejoint la horde
C’est pour aussi chasser les âmes des morts
Les emporter aux Enfers a raison ou à tort
Il est aussi possible d’entendre les chasses galopines
Ces lamentables vagissements de voix enfantines
Qui hurlent la damnation de n’avoir été baptisés
Tout n’est que bruit, invisible et brisé
L’homme ne les sent arriver qu’aux bêtes énervées
Miaule le chat, aboie le chien, le cheval est cabré
L’été Seule la lune arrive à les révéler par intervalles
Dans les gorges des montagnes, ces odieuses cavales
Traînée noire se déroulant en spirales
Comme emportés dans une danse infernale
MACABRE