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5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 00:36
papa.JPG
Papa,
 
J’aurais voulu te souhaiter un joyeux anniversaire
La première comme j’avais l’habitude de faire
 
J’aurais voulu, pas comme pendant des années, t’embrasser
Te serrer, envoyant la pudeur balader par un ASSEZ
 
J’aurais voulu te voir sourire en laissant une plaisanterie
J’aurais voulu te voir gêné parce qu’on t’amenait une surprise
 
J’aurais voulu te voir chanter Brassens ta pichounette dans les bras
Ma petite Margot qui ne cesse, aussi petite soit elle, de penser à toi
 
J’aurais voulu entendre « Querida, poulette » ou le « maman »
Qui faisait râler ton plus bel amour te lançant son regard aimant
 
J’aurais voulu qu’on soit encore ensemble tous à table
Riant et s’étonnant des propos perspicaces et cultivés d’une personne affable
 
J’aurais voulu tant de choses mais les larmes embuent l’esprit
Qu’il en devient difficile d’écrire, sans paroles, sans un cri
 
Je me sais dans le déni tout en ne pensant qu’à ce moment
Ou je t’ai vu sans vie, sans comprendre vraiment le comment…
 
Mais les Si, les  j’aurais voulu, j’aurais su valent bien peu en ce monde
Rien ne peut te faire revenir physiquement, car ta vie avait fini sa ronde…
 
Quand ta petite fille te réclame encore souvent et pleure, je lui dis « rêve »
Car dans ses songes, tu as encore ta place réconfortante et qui doucement l’élève.
 
Tout ca pour dire qu’on aurait fêté cette année de plus vers la sagesse
Que je t’aurais regardé te lançant des « je t’aime » silencieux pleins de tendresse…
 
Je t’aime Papa


cCitations 

"J'ai un profond respect des dates anniversaires Ces portes que le Temps dispose autour de nous Pour ouvrir un instant nos coeurs à ses mystères Et permettre au passé de voyager vers nous"
                                                                                     Yves duteuil
 
"Une année de plus à notre âge est une année de moins à notre vie, l'anniversaire est-il alors fête ou deuil ?"
 
                                                                                     Wail bouabid
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3 novembre 2007 6 03 /11 /novembre /2007 22:15
026-Favole.jpg
Mon cœur est fuyant et ma tristesse constante
Cette vie noire et sans surprises, je m’en contente
Non contente de vivre ainsi
Mais ainsi a la vie
Cependant la vie ainsi ne vaut pas le cout
Mais ses coups me coutent beaucoup
Beaucoup d’angoisse et d’humiliations
L’humiliation faite par tout le monde
Le monde qui n’a jamais réellement voulu de moi
Moi qui à tous a réellement voulu à tous le bonheur
Ce bonheur auquel je ne goute jamais
Jamais personne ne veut avec moi le partager
Partagée entre la vie et la mort
La mort semble moins pénible à endurer
Car endurer est devenu impossible
Impossible de supporter tant de critiques tout le temps
Un temps qui ne s’arrête jamais
Jamais sauf quand la vieillesse vous emporte
Emportée au vent frais de l’été passé
Ce passé qui m’a tant blessé
Blessée à tel point que je pleure
Je pleure …mon cœur fuyant qui laissent en moi une tristesse constante
 
 
14/08/1999
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3 novembre 2007 6 03 /11 /novembre /2007 22:06
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Calme étendue de bleu où les vagues mourraient
Qui laissait au soleil créer une atmosphère
Par les lueurs jaunis d’une fin de journée
Caressant la mer et le sable de la terre
 
J’étais là, regardant ce beau soleil couchant
En admirant les collines, au loin, je marchais
Sur le sable fin et me laissais transporter
Dans mes rêves grâce à la mer et son doux chant
 
Les rayons faisaient briller le sable, et la mer
Comme des cristaux jaunes, diamants des mers
Je rêvais à tous les pirates de ces plages
 
Qui se battaient pour les trésors de ce beau monde
Bravant tous les dangers et l’ennemie immonde
Et condamnés à l’enfer à travers les âges…
 
05/2007

Old-Pirate.jpg
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3 novembre 2007 6 03 /11 /novembre /2007 21:32
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La vie est trop courte pour certain

Surtout si on meurt de quelqu’un

Le tout pour n’importe quoi

Le pire, c’est quand on ne sait pourquoi

Je voudrai vivre d’amour

Comme les gens en rêve toujours

Mais il faut être conscient de la chance

Par rapport à d’autre, et j’y pense

Mais je m’en plaints, j’aime la vie.

Alors ne me tue pas par jalousie

Sans aucune suite certaine

Me faire du mal pour rien fera de la peine

 

 

06/11/1995

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3 novembre 2007 6 03 /11 /novembre /2007 21:21
bvv43ck0.jpg
Je ne t’aimerai plus jamais !
De toute façon, je ne t’ai jamais aimé
 
Je ne veux plus jamais te revoir
Pour toi, mes larmes je ne veux plus les boire
 
Je ne veux plus jamais te sentir
De toute façon, je n’ai jamais pu te sentir
 
Je ne veux plus jamais que tu me regardes
Et je ne veux plus jamais que tu me parles     

                                    Tes jolis sourires, tu peux te les garder
                                    Ainsi que tes belles paroles jamais pensées….
 
 
21/09/1995
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3 novembre 2007 6 03 /11 /novembre /2007 11:59
455053.jpg
Je sais ce n’est pas être  très doué dans l’art poétique
Mais ces rimes seront reprises de poèmes lyriques et souvent tragiques
 
L’essentiel est que le sens des mots soit compris
J’ai réfléchis et c’est pour cela que tout a été repris
 
J’avais besoin de bonheur, j’étais né pour souffrir
Esclave, je sens un cœur né pour l’amour
 
Oh, je t’aimais comme un lézard…qui pèle,
Aime le rayon qui cuit son sommeil
L’amour entre nous vient battre de l’aile ?
Eh bien, qu’il s’ôte de devant mon soleil !
 
La mélancolie
Berce de doux chants
Mon cœur qui s’oublie
Aux soleils couchants
 
Moi je vis la vie a coté
Pleurant alors que c’est la fête.
Les gens disant : « Comme il (elle) est bête »
Qu’importe j’aime la beauté
 
Laisse, laisse mon cœur s’enivrer d’un mensonge
Plonger dans tes beaux yeux comme dans un beau songe.
 
J’ai fait souvent se rêve étrange et pénétrant
D’une fille (d’un garçon) inconnue et que j’aime et qui m’aime
Et qui n’est à chaque fois, ni tout a fait la même
Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend
Son nom ? Je me souviens qu’il est doux et sonore
Mais mon cœur lassé de tout même de l’espérance
Ne va plus de ses vœux importuner le sort
Et mon âme à sa recherche n’est qu’errance
 
Je ne vis qu’elle (il) était belle (beau)
Quand sortant des grands bois sourds
« Soit n’y pensons plus » disait-elle
Depuis j’y pense toujours
 
Bientôt autours de moi les ténèbres s’accroissent
L’horizon se perd avec la chose et l’être avec l’esprit
Flottent à mon souffle, et le frisson me prend
Je suis seul(e) ….
Dans mon orgueil muet, dans ma tombe sans gloire
Dussé-je m’engloutir pour l’éternité noire
Je ne te vendrais pas mon ivresse ou mon mal
 
Que mon vers soit la bonne aventure
Eparse au vent crispé u matin
Qui va fleurant la menthe et le thym
Et tout le reste n’est que littérature

 

 

 
1995
 
Hugo, Senancour, Lamartine, Corbière, Verlaine, Cros, Baudelaire et un peu moi.
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3 novembre 2007 6 03 /11 /novembre /2007 11:42
Chapelle-gothique.jpg
Je n’ai jamais été voulu au monde
Car dit on je suis immonde
 
De tout, j’ai peur
Et, on dit que je n’ai pas de cœur
 
                   On me disait incapable d’aimer !!
                   Quel est donc ce sentiment que j’éprouvais
 
Sourd
         A tout discours
 
                   Cela me faisait pleurer
                   Et je ne pouvais pas m’arrêter
 
Alors en mourant, j’emportai tout de moi
Tout, pour qu’on m’oublia…..
 
 
1994
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2 novembre 2007 5 02 /11 /novembre /2007 22:36
483838396.jpg
La mort, toujours la mort, vive obsession de chacun....qu'on en a peur ou pas.....Elle vous arrache des larmes et ne vous aide pas toujours...Elle rode quand on ne s'y attend pas...brise des montagnes...C'est ainsi qu'elle est arrivé a un moment ou nous n'étions pas préparé...mais le sommes nous vraiment a quel moment qu'il soit?? Parfois on l'attend mais quand elle vient, la douleur est aussi vive....


Mon père était charismatique, fort et rien n'aurait pu l'arrêter si ce n'est ce 21 juillet 2006 alors qu'il n'avait que 46 ans ....Si on pouvait faire l'allégorie de l'excès, il en aurait été une bonne.....C'était une personne entière avec ses qualités comme ses défauts....Cultivé, très bon orateur, prêt a donner sa chemise, à risquer tout pour une personne qu'il appréciait...il n'en étais pas moins colérique, bien trop pudique sur ces sentiments et donc pas forcement démonstratif, et surprotecteur ce qui n'a, finalement, pas été très bon pour certaines personnes...Il ne semblait avoir peur de rien, se donnant entièrement a tout ce qu'il entreprenait aussi insignifiant que cela puisse être...cependant ca n' a pas toujours été très bon et l'a sans doute fatigué avant l'heure....Cela fut tel que beaucoup et peut être trop se reposaient sur ses épaules....Et c'est ainsi qu'a l'aube de son repos après une nuit de boulot bardée d'heures supplémentaires comme il avait l'habitude de faire et une semaines, un mois, une années...en heure décalées, en repos décalés...Il est rentré, s'est couché puis s'est relevé aux alentours de 12h, un peu patraque mais il a toujours mal supporter la chaleur et elle était suffocantes ces jours-ci....la fatigue somme toute pas plus pas moins que la fatigue.... Il s'est installé pour jouer sur son jeu en ligne passion éphémère qu'il partageait avec ma sœur, a été pris de douleur....Il a même regardait ma mère lui annonçant que c'était les symptôme de la crise cardiaque...Ma mère a paniqué voulait appeler un médecin...ce dernier s'est un peu fâché, ne prenant pas en compte ces symptômes refusant catégoriquement d'y accorder plus d'attention qu'il ne voulait, je discutais avec eux sur Msn ne me doutant de rien...Il a pris ma fille dans ses bras lui promettant de se baigner avec elle en fin d'après midi...jouant avec elle, la couvrant de petits baisers. Quand cette dernière s'est endormie, il est retourné dans le bureau avec ma sœur...il était en train de plaisanter quand d'un coup d'un seul il a porté les mains a son visage et est tombé sous les yeux de cette dernière...Rien a pu être fait , tout s'est mal goupillé...il n'a pas eu de chance...Tout le monde était la sauf moi....Ma fille s'est éveillée aux cris qu'il y a eu, c'est son frère qui la prise en charge...ma sœur a tenté de m'appeler en laissant ce simple message papa est tombé, quand j'ai appelé a la maison, ce sont des voix d'inconnus qui m'ont répondu en me disant que tout allait bien, de rappeler un peu plus tard....Je fus prise de panique, l'esprit tourne a 200km/h ...Je savais qu'il n'était plus la...mon compagnon n'y croyait pas ...Je suis partie en laissant tout en plan mais avec la certitude que la mort était venue le chercher...Il tentait de me dire que ca n'était surement pas si grave que ca...la fatigue, la chaleur...Et j'avais l'impression de vivre la scène d'ou j'étais...Je savais, on ne sait comment, ou et comment c'était arrivé....j'essayait de m'anesthésier l'esprit en me répétant les paroles de Mylène serais-tu là.....Quand je suis arrivée devant le portail de la maison, ma mère était en haut de l'escalier me disant juste C'est Fini....Je ne voulais pas le réaliser....Et je l'ai vu, l'effondrement...c'était vraiment FINI....



Désole pour ce texte brouillon...Ne prenez pas les choses a la légère quand vous n'êtes pas des aficionados des médecins....Je prends mon temps pour dire ce que je ressentais ....vous  le saurez....
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31 octobre 2007 3 31 /10 /octobre /2007 20:19


rimbaud.jpg



Très tôt, Arthur Rimbaud développe un don précoce pour la poésie. Ecrivant son premier poème à l'âge de treize ans, il remporte l'année suivante le prix du Concours académique. En 1870, il fait la rencontre de Georges Izambard, alors professeur de son lycée. Il découvre avec lui la poésie parnassienne. Mais l'invasion prussienne précipite les événements. Rimbaud fugue vers Paris et, dans l'espoir d'être publié au sein du journal des Parnassiens, il expédie à Paul Demeny sa 'Lettre du voyant'. C'est finalement Verlaine qui l'accueille, bouleversé par la modernité de sa poésie. S'ensuit une relation tumultueuse qui conduit les deux poètes à une fugue anglaise. Leur amitié prend fin lorsque Verlaine manque de tuer Rimbaud d'un coup de pistolet. Par la suite, Rimbaud mène une existence vagabonde, tout en rédigeant les célèbres 'Illuminations' et 'Une saison en enfer'. Il voyage en Hollande, à Chypre pour se diriger vers l'Abyssinie où, renonçant à la poésie, il devient trafiquant d'armes. En 1885, il souffre d'une tumeur au genou. Rentrant amputé en Europe, Arthur Rimbaud s'éteint.

DeMassotGare.jpg

Bal des pendus

Au gibet noir, manchot aimable,
Dansent, dansent les paladins,
Les maigres paladins du diable,
Les squelettes de Saladins.

Messire Belzébuth tire par la cravate
Ses petits pantins noirs grimaçant sur le ciel,
Et, leur claquant au front un revers de savate,
Les fait danser, danser aux sons d'un vieux Noël !

Et les pantins choqués enlacent leurs bras grêles
Comme des orgues noirs, les poitrines à jour
Que serraient autrefois les gentes damoiselles
Se heurtent longuement dans un hideux amour.

Hurrah ! les gais danseurs, qui n'avez plus de panse !
On peut cabrioler, les tréteaux sont si longs !
Hop ! qu'on ne sache plus si c'est bataille ou danse !
Belzébuth enragé racle ses violons !

Ô durs talons, jamais on n'use sa sandale !
Presque tous ont quitté la chemise de peau ;
Le reste est peu gênant et se voit sans scandale.
Sur les crânes, la neige applique un blanc chapeau :

Le corbeau fait panache à ces têtes fêlées,
Un morceau de chair tremble à leur maigre menton :
On dirait, tournoyant dans les sombres mêlées,
Des preux, raides, heurtant armures de carton.

Hurrah ! la bise siffle au grand bal des squelettes !
Le gibet noir mugit comme un orgue de fer !
Les loups vont répondant des forêts violettes :
A l'horizon, le ciel est d'un rouge d'enfer...

Holà, secouez-moi ces capitans funèbres
Qui défilent, sournois, de leurs gros doigts cassés
Un chapelet d'amour sur leurs pâles vertèbres :
Ce n'est pas un moustier ici, les trépassés !

Oh ! voilà qu'au milieu de la danse macabre
Bondit dans le ciel rouge un grand squelette fou
Emporté par l'élan, comme un cheval se cabre :
Et, se sentant encor la corde raide au cou,

Crispe ses petits doigts sur son fémur qui craque
Avec des cris pareils à des ricanements,
Et, comme un baladin rentre dans la baraque,
Rebondit dans le bal au chant des ossements.

Au gibet noir, manchot aimable,
Dansent, dansent les paladins,
Les maigres paladins du diable,
Les squelettes de Saladins.

fl-vr.jpg

Le coeur volé
Mon triste coeur bave à la poupe,
Mon coeur couvert de caporal :
Ils y lancent des jets de soupe,
Mon triste coeur bave à la poupe :
Sous les quolibets de la troupe
Qui pousse un rire général,
Mon triste coeur bave à la poupe,
Mon coeur couvert de caporal !

Ithyphalliques et pioupiesques
Leurs quolibets l'ont dépravé !
Au gouvernail on voit des fresques
Ithyphalliques et pioupiesques.
Ô flots abracadabrantesques,
Prenez mon coeur, qu'il soit lavé !
Ithyphalliques et pioupiesques
Leurs quolibets l'ont dépravé !

Quand ils auront tari leurs chiques,
Comment agir, ô coeur volé ?
Ce seront des hoquets bachiques
Quand ils auront tari leurs chiques :
J'aurai des sursauts stomachiques,
Moi, si mon coeur est ravalé :
Quand ils auront tari leurs chiques
Comment agir, ô coeur volé
Rimbaud26.jpg Ô saisons, ô châteaux
Ô saisons ô châteaux,
Quelle âme est sans défauts ?

Ô saisons, ô châteaux,


J'ai fait la magique étude
Du Bonheur, que nul n'élude.

Ô vive lui, chaque fois
Que chante son coq gaulois.

Mais ! je n'aurai plus d'envie,
Il s'est chargé de ma vie.

Ce Charme ! il prit âme et corps.
Et dispersa tous efforts.

Que comprendre à ma parole ?
Il fait qu'elle fuie et vole !

Ô saisons, ô châteaux !

Et, si le malheur m'entraîne,
Sa disgrâce m'est certaine.

Il faut que son dédain, las !
Me livre au plus prompt trépas !

- Ô Saisons, ô Châteaux !

tombe-400.jpg

Ma bohème

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !

Mon unique culotte avait un large trou.
- Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;

Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !
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30 octobre 2007 2 30 /10 /octobre /2007 17:06
favole6.jpg
N’est ce point très étrange
De voir passer un ange ??
 
Noel est encore loin
Et je ne crois en rien….
 
N’est ce point le message
L’amour est une cage
 
Méfie-toi disait-il !!!
Méfie-toi disait il !!!
 
Me méfier de quoi
Si ce n’est que de toi…
 
Au revoir le disais-je
Au revoir mon amour…..
 
 
1994
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  • : Le temple de pandore
  • : La litanie des esprits damnes' Les amours impossibles dans l enfer adore' Colère tristesse c est le chant des démons' Les milles et uns tourments' sont ainsi' Et ainsi va la poésie de la vie' La crise solitaire d une ame en détresse A vous sont les écrits de la poétesse'
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