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4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 00:10
C'est loin d'être ma préférée, mais la pour le coup,
ben je sais pas elle a sa place aujourd'hui....
ça pars et ça revient encore et toujours
Mon coeur aussi gris qu'un jour de pluie...





When you were here before
Couldn't look you in the eye
You're just like an angel
Your skin makes me cry
You float like a feather
In a beautiful world
I wish I was special
You're so fucking special

But I'm a creep
I'm a weirdo
What the hell am I doing here?
I don't belong here

I don't care if it hurts
I want to have control
I want a perfect body
I want a perfect soul
I want you to notice when I'm not around
You're so fucking special
I wish I was special

But I'm a creep
I'm a weirdo
What the hell I'm doing here?
I don't belong here

She's running out again
She's running out
She runs runs runs

Whatever makes you happy
Whatever you want
You're so fucking special
I wish I was special

But I'm a creep
I'm a weirdo
What the hell am I doing here?
I don't belong here
I don't belong here
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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 01:32
Parce que je l'aime...parce que j'aime ce qu'elle fait et parce ce texte me ressemble...et parce qu'elle est la pour moi comme j'essayerai d'etre toujours la pour ma tendre Tice
je tiens a vous le faire decouvrir...cliquez sur l'image





http://fc07.deviantart.net/fs7/i/2006/002/9/b/Hope_by_horusrogue.jpg


Pour la decouvrir : http://titia201922act3.skyrock.com/

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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 16:34




Le cœur semble apaisé au premier regard

Mais loin d’être serein tout lui semble hagard

Demandez vous a Emma de ne plus rêver,

Pour mieux la tuer face a la réalité?

Ainsi voila donc mon cœur mis a nu pour vous

A cet instant ou je n’écrivais plus un mot

J’avoue ne pas avoir fait le deuil de tout

J’anesthésiai cela pour ne pas faire trop

Noyant ma solitude avec quelques chansons

Nostalgie mellifique de mes temps heureux

De nos ballades furtives ou nous chantonnions

Mes jupons se soulevaient au vent capricieux

Vous souriez, l’œil taquin, moqueur au grand cœur

Rougissante, gênée mais quelques peu amusée

Mon amour vous était offert avec quelques pudeurs

Contre vous, d’aucun charmes je n’aurai usé

Vous étiez ma drogue pour mon plus grand malheur

Mon enfer comme mon paradis, j’étais votre

Idolâtrant l’homme de mes yeux amoureux.

Me laissant pénétrer de vos mots mon apôtre

Et je pleure un amour perdu jamais gagné

Faisant fi de ce dont je n’avais pas de droit

Car j’ai vécu l’amour tel que je l’avais rêvé

Sans pour autant y toucher, mes sens en Émois…..

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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 00:36

Voila une chanson qui , sans meme en connaitre la traduction, m'a fait verser des larmes rien qu'a sa 1ere ecoute...le souffle comme coupé.........C'est assez bizarre que je ne l'ai pas mis ici avant...
 

Remember when i took you
up to the top of the hill?
We had our knives drawn.
They were as sharp
as we were in love.
If god crossed us
we'd take all his drugs,
burn his money
and his house down,
and wait for the fire to spread.

Sometimes hate is not enough
to turn this all to ashes.
Together as one
against all others
break all of their wings to
make sure it crashes

We're running to the
edge of the world
Running, running away
We're running to the edge of the world
I don't know if the world will end today

I had no choice,
I erased the debt of our family,
let you say goodbye
with lips like dynamite.
And everyone
turned their backs
because they knew
when we held on tight
to each other,
we were something fatal,
that fell into the wrong hands.

Sometimes hate is not enough
to turn this all to ashes.
Together as one
against all others
break all of their wings to
make sure it crashes

We're running to the
edge of the world
Running, running away
We're running to the edge of the world
I don't know if the world will end today

We don´t see death, we see destruction
(2X)

Repeat chorus

See a new beginning rise behind the sun
We can´t never catch up to them as fast as we run


Te rappelles-tu quand je t'ai emmené au sommet de la colline ?
Nous avions nos couteaux sortis
Ils étaient aussi tranchants que nous étions amoureux
Si Dieu nous a maudit
Nous avons pris toutes ses drogues,
Bruler sa monnaie
Et enflammer sa maison
Et nous attendons que le feu se propage
 
Mais parfois la haine ne suffit pas
Pour transformer tout cela en cendres
Unis
Contre tous les autres
Brisons nos ailes
Pour être sur qu'on s'ecrase
 
Nous courrons vers le bout du monde
Nous courrons et nous enfuyons
Nous courrons vers le bout du monde
Je ne sais pas si le monde se terminera aujourd'hui
 
Je n'avais pas le choix
J'ai effacé la dette de notre famille
Me laisseras tu dire aurevoir
Avec des lèvres comme de la dynamite
Et tout le monde
 
Tourna le dos
Car ils savaient
Que quand nous nous accrochions
L'un à l'autre
Nous étions quelque chose de funeste,
Tombé entre de mauvaises mains
 
Nous courrons vers le bout du monde
Nous courrons et nous enfuyons
Nous courrons vers le bout du monde
Je ne sais pas si le monde se terminera aujourd'hui
 
Je ne cherche pas la mort, Je recherche la destruction
Jusqu'à notre mort nous recherchons la destruction
Je ne cherche pas la mort, Je recherche la destruction
Jusqu'à notre mort nous recherchons la destruction
 
Nous courrons vers le bout du monde
Nous courrons et nous enfuyons
Nous courrons vers le bout du monde
Je ne sais pas si le monde se terminera aujourd'hui
 
Je peux voir un nouveau départ
Apparaitre Derriere le soleil
Mais nous ne pourrons jamais l'atteindre
Qu'importe la vitesse a laquelle nous courrons

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 01:35



Il est des temps ou la nature endormie couve un feu ardant

A la fraîcheur des plaines, la terre cache toute vie
L'amour sommeille et parfois se réveille dans un chant
Pousse alors le doux mimosa dans un souffle d'envie

Et le Cœur bordé d'hamalélis se met a battre…
d' une invocation de sorcière, le charme opère
Pour oublier toutes les peurs, le désespoir d'hier
Et la perplexité quitte les traits de son front albâtre

Et c'est alors que se fait plus douce la bise
en faisant fi de la nymphe On hume le bois joli
Ne pas goutter les fruits car la mort ils attisent
Tout se brise dans un brulant cœur et capte la folie

De la raison a l'obsession de l'obsession a la raison
Ou l'amoureux s'arrêtera t il vraiment curieux troubadour
Il erre, glisse mais se relève jusqu'au changement de saison
Attendant l'edelweiss scrutant l'évolution de son amour

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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 00:36


J’ai rêvé d’amour imparfait

Parfum de présent

Qui file au passé


Rêvé de poussière de fée

Amour embrasant

Mon âme cassée


J’ai rêvé qu’on me désire

Sans jamais se lasser

Aimée a tous les temps


Enveloppée doucement par Zéphyr

Transportée …caressée

Douceur de l’amant


Sous une pluie de baisers

Avoir le sentiment

d‘être importante


Des mots des mots mon brasier

L’amour ne ment

L’amour me hante

 

Je rêve encore et encore

Me demandant a quoi bon

Que serai-je sans?


Sans rêves c’est la mort

Malgré les sermons

Incessants…


J’aime aimer, J’aime rêver

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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 04:16



 

Tu dors, elle s’endort et honore tes morts

La nuit sera propice à tous les précipices

Je t’invite a la fête et te jette mes sorts

Lueurs de bougies, d’encens sans artifices

Je danse pour la mère, m’accouple au nom du père

Figures d’atamé, calice à pleine gorgées

Passant d‘un monde à l'autre sans me sentir amère

La nuit sous la lune claire atteint son apogée


Fraîcheur vivifiante de la vie qui se meurt

Le temps du rude hiver nature suspend son cœur

Manteau du brume s’étend sorcier de tous les temps

S’unissent le temps d’u soir Samhain que l’on attend


depuis la nuit des temps, elle berce les cycles

Samhain oublie le jour et le sombre prend vie

divise nos vies au son des chants, de la musique

Prenant d’entiers quartiers sans demander d’avis


Le temps se dérobe, me dénude de ma robe

Et je m’offre avec volupté au sommeil des nobles

Et donner le passé au passé, caressant ma peau

Qu’une étrange atmosphère enveloppe d’oripeaux


Ainsi sous d’obscures allures, commence une année

Vers mon intérieur me concentrer de nouveau

Trouver la lumière des ancêtres divinement innée

Avancer pour s’éveiller pleinement au renouveau

 

 

 

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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 00:33

 

Lucifer tends ses bras, me caresse doucement

Je me laisse  tenter, et me laisse toucher

Le désir s’illumine, et me brûle ardemment

Les flammes m’entourent,  mon corps viennent lécher

 

Je ferme les yeux abandonnant résistance

J’appelle la noire magie devenant alors ombre

Du physique moins sentir le cœur, pénitence

Quand il n’y a pas d’amour reste encor le sombre

 

Soumis a la luxure, jamais le cœur se brise

Parce qu’il ne satisfait pas son humble amour

Et quand tout se termine ne reste que la bise

Sentiments inachevés qui deviennent trop lourds

 

Croquez donc la pomme de vos dents acérées

Crevez donc gentilhomme et laisser moi sourire

Pas de femme, pas de soumissions avérée

Monstre tentaculaire, vous cesserez de vivre

 

Je rirai de vous voir enlaçant la souffrance

Dégustant tous vos cris,mélodie de mes transes

Prisonnier de mes jambes et me remplir la panse

Dévorant votre esprit et toute votre abondance

 

Je suis un charognard et reviendrais sans cesse

Picorant votre foi étalant votre tristesse

Qu’espérez vous de celle que vous maudissez

Sachez que de la lie, je n’en ai pas assez




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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 01:42




Je ferme les yeux sur mon monde dévoiler l’ombre

L’horreur de mes pensées sourire des pénombres

Le gentil n’a pas de place en ce monde sombre

Et les empathiques creusent leur tombe en nombre

 

Le sensible malmené est tristement raillé

L’espoir engloutit, l’amour est tué rayé… 

Good bye les moments tendres de fraternité

Good bye l’amour prodigué dans l’éternité

 

Je ferme les yeux au  monde désespoir voilé

Ne pas perdre la face quand tout s’est écroulé

Se relever tout en essayant d’ignorer

Tous ceux que vous avez aimé et honoré

 

Le vide se lance, les cathédrales  en feu

Tout se balance, nerveusement effondrée

Il pleut dans mon cœur, comme je pleure... adieu

Plus de gestes de regards malicieux…sabrée

 

J’ouvre les yeux et vois un monde désolé

Ou la solitude une catin vous accueille

Dans ses draps mouillés des larmes des  esseulées

Que les sots  pour leurs veules intérêts endeuillent….

 

Tant pis je me ferai courtisane de mon monde

Inquisitrice envers ceux qui me toucheront

Les crucifierai au nom de ma rédemption

Seule rançon pour que la lumière m’inonde



photo : Marie Sez (modèle : Frederique Decker)

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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 02:11




Je ne reflechie plus
aveugle a la raison
qu'est ce qui m'a plu
pour t'aimer a toutes les saisons
je ne me connais pas...
je m'ignore chaque fois un peu plus
a te rever...etre ton appat
pour qu'il n'existe pas de @ plus
je suis la fille
tu es le garcon
jouer aux billes
demander pardon
coeur diapason
vie deraille
toison d'or Jason
chapeau de paille
histoire d'O
carousselle
regarder le badot
vie sans sans toi sans sel
aller a l'essentiel
mais quoi
atteindre le ciel
mais pas sans toi
je reve et derive
mon esprit partout
n'atteind aucunes rives
toi mon tout
ou suis je
loin de toi
que puis je
mon amour sans toit
ca n'a ni queue ni tete
il n'y a pas d'esthete
Les balancoires en feu
sont tout ce qu'il me reste
souffle le vent, volent les cheveux
attendant un impossible geste
voila mon coeur
dans son malheur.........

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  • : Le temple de pandore
  • : La litanie des esprits damnes' Les amours impossibles dans l enfer adore' Colère tristesse c est le chant des démons' Les milles et uns tourments' sont ainsi' Et ainsi va la poésie de la vie' La crise solitaire d une ame en détresse A vous sont les écrits de la poétesse'
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