Sorry Angel...Sorry SO.......

 Tes silences m'inquiète, 
ils ont quelque chose de grave 
et de sérieux comme une mise en abîme.
 Ne regarde pas trop dans la nature humaine,
 tu n'en tireras rien de bon.
 Ne cesse pas de trembler c'est comme 
ça que je te reconnais Même s'il vaut 
beaucoup mieux pour toi, que tu trembles 
un peu moins que moi. 

 The hight end of LoW 

 la resignation... comme si finalement...
plus rien n'avait vraiment d'interet... 
Comme si rien ne peut vous apporter de
 satisfaction...dans l'absolu quelques
 personnes ...quelques petites choses 
sortent du lot.... Je ne me ressent plus
 nulle part....l'abime a peut etre du bon..
.. il est peut etre pas improbable de
 trouver quelque chose au fond... Je crois
 que le souffle de l'esperance commence 
a me passer a coté 

 From dust still dawn 

 Je sent une ombre autour de toi, 
à la fois résignée et déçue, les gens 
t​​​​e déçoivent-ils à ce point?
 Je te le dis il n'y a rien de bon 
dans les ténèbres, ne suit pas mon chemin
 je ne suis pas un guide je suis 
un avertissement, un épouvantail, 
un gardien.  

 Running to the edge of the world  

 Je ne te suits pas meme si mes chemins
 de traverse semblent rejoindre ta route...  

​​​​l'ombre en moi est si presente que ca? pourtant j'ai souri, j'ai parlé.... 

 je n'ai pas la pretention de te garder 
petit gardien...  

 je suis si peu ....le parapet est cassé 
tellement fatigué qu'il en fallait peu pour le briser...en equilibre ..  

 .je suis tombée  

 De Homini Naturae  voici que vient 
le pire la chair-les os-les cendres
 tout ici se confond capitaine 
d'un navire qui file et va se fendre 
sur une larme de fond  

 Pennyroyal tea 

 j'aurais voulu avoir ton attitude...
j'aimerai l'avoir trop de chose m'obsede 
et me tourmente...tellement que finalement
 j'ai l'impression d'etre une coquille 
vide  

 Vu de haut......... 

 Tu le vois en l'attitude Isolé en 
altitude Être insensible au remords
 Superficiel et retord Sur la joue 
coule une larme En plein coeur brille
 une lame Mais jamais rien ne perturbe
 Le sibyllin funambule Ange dément 
qui se glisse Entre le Ciel et l'Abysse
 Et pourtant ne trouve place 
Qui pourrait porter sa trace  

Certains terraient bien nos valeurs
Comme internés et sans honneur
Désintérêt pour nos labeurs
Je tairais donc leur déshonneur
Les intérêts sont nos voleurs
sans intérêt et sans valeur
On n'atterrait en dé-valeur
Ne resterai que les râleurs
Les internets sont les voyeurs
incontrôlés des enjôleurs
De l'intérêt des dé-voyeurs
Dés-internés, libres penseurs

Pandora et El Desdichado

1,2,3 qui sont elles ? Que font elle ?

1,2,3 semblables, différentes , une seule belle

l’une rie, l’une aime et pleure, l’autre hait

sans l’une, sans l’autre , personne n’est

Ce n’est pas Byzance mais Eudoxie vit

L’ange crève a travers son empathie

Et quand Pandore s’ouvre a la vie

Du monde et de ses sœurs elle crie Antipathie

Laquelle se trouve en votre présence ?

Dans cet exercice nulle aisance…

Car quoiqu’on en pense

Difficile de rentrer dans leur danse

L’une cache les autres, cache son mal

De la joyeuse volage a celle qui veut faire mal

L’ange se regarde, le miroir reflète l’âme

Qui tente de comprendre, percute une lame

Elles se cachent se protègent,

Rarement entières se révèlent

Usant alors de leurs sortilèges

Puis doucement se relèvent

Oser les affronter elles se lient contre vous

Préférer l’une d’elle, elles se jalousent

Et dans leurs attitudes vous rendre fous

Vous attirant comme un miroir a Farlouses

Chacune brille mais sont en désaccord

Impossible dès lors d’espérer être en accord

Sans s’exposer a de vives souffrances

Car vous n’aurez aucunes chances….

Carpe diem, mais que faire si les roses ont fané

Ton absence met mes anges a genoux

Être la sans l’être comme des rêves profanés

Mes yeux et mon cœur se sont fermes sur Nous

Je revois tes yeux rieurs comme si c’était hier

Comme autant de larmes qui parfois perlaient tes yeux clairs

Et mon cœur battait la chamade en un éclair

Que n’aurais je pas fait rien que pour te plaire…

J’ai pris des brassés de fleurs a ne plus pouvoir les porter

J’ai bu le nectar que je pouvais et ce jusqu’à l’impossible

Redoutant chaque jour une échéance irréversible

Me laissant seule dans le monde de mes rêves emportes

…………….

Cet amour est comme la mort,écartant souvent la raison

Cet amour est la mort, il est mon acide poison

La liberté a un prix que peu osent se payer

Préférant laisser les fleurs bien plantées

Fixation de l’âme, pluie sur macadam
Amertume passagère, prisonnière et sans air
Tout est gris, des larmes, se révolter sans armes
Détachée de ses pairs, au milieu de la mer

Je m’ennuie, je le vis, le déplore agacée
Nul besoin de lecture, je suis déjà lassée
Trouver un intérêt et l’ennui chasser…
Ou alors se résigner attendre le moment passé

Et la nuit s’impose a mes yeux en plein jour
La petite mort me poursuit pour donner son amour,
Je goûte a l’ivresse, ne pouvant la retenir…

Je m’accroche péniblement aux accords monotones
Mais je passe d’un monde a l’autre le sommeil sonne
Je tombe, sursaute, reviens…garder en tête qu’il faut tenir