Je marche dans les rues de la ville, pensive…
Me remémorant, nostalgique, errance
Des cœurs, de ma tendresse maladive
Qui Aujourd’hui est pareil a des lances
Rien n’existait je me perdais dans tes mots,
Ne faisant attention ou allaient nos pieds
Et la sans toi je me retrouve tantôt
Sur nos chemins et dans des endroits familiers
Je te vois fantôme assis a la table d’une échoppe
Je souris doucement comme si tu étais la
Ma tête se met a des chants parsemés de tropes
Pour mon malheur, mon cœur de toi n’est jamais las
On me regarde, me sonde, je me réveille…
De ma torpeur et sourie a l’amie qui m’accompagne
Je ferme les yeux a mes mondes merveilleux
Reprenant le cours des conversations ma raison me regagne
Je m’en vais flâner, la ou nous devions aller
Que Le temps ne nous a pas laisser assouvir
La boule dans la gorge qui vous empêche d’avaler
Le cœur serre, larmes intérieures caché par des soupirs
Mon Amour…Qu’A-t-il manqué au juste?
Pourquoi a toi, mon être s’est réveillé
On apprend, on reste droit mais cela est injuste
A l’entrée de mon tombeau tu étais mon soleil…
Parti,je tâtonne dans l’obscurité noire
Et trébuche sans cesse sur mes sentiments…
Me laissant une immense faiblesse et le désespoir
Moitie de mon âme que j’ai laissée aux vents
Je marche dans les rues de la ville, pensive…
Me disant que tout était vain, mes espoirs…rien
Même sans deuil, malgré tout il faut que je vive
Me détournant de mes rêves pour ton plus grand bien….