Laissant place à la folie La violence L'inonde, La haine s'insinue,
Au loin elle voit les mots s'effriter...
errant tristement dans les ténèbres, solitaire
rien n'y changera c'est plus profond qu'un vide
rendant de son Corps l'Amor avide
Vivez pour vous, mourrez pour moi
J'aime votre cou tendu étanchant ma soif
Que dis je, je suis prêt à tout pour mes mécènes
Qui me cachent et connaissent ma condition obsène
Je suis l'éternité, Vous êtes la vie
Et de mes oeuvres seul importe votre avis
Car ceux de ma nature même s'ils m'apprecient
Ne peuvent juger de ce que je fait et moi aussi
Je vous envie, je vous admire
Certains sont parfois dans ma ligne de mire
Quand ma folie m'emporte sans raison valable
Mais pour le reste, je vous suis redevable
Je vous aime, voué a votre culte
Car de votre mort rien ne résulte..........
Le Vent caressant mon visage faisant voler quelques mèches de cheveux
Plissant fraichement les longs pans legers de ma jupe
J'attendais et j'attends toujours de tous mes voeux
Pourtant je sais qu'il ne viendra jamais, je ne suis pas dupe
Mais j'aime à esperer, me tourmenter et desesperer
Que serai je si il était là, que deviendrai-je siil m'emportait le coeur
Je ne peux l'imaginer, je préfère juste l'envier, l'approcher, le toucher et le retirer
Voilà, lache que je suis, comment je ferme la porte au BONHEUR
JE suis un être de chair qui vit pour le sang
Et vous ma chère, vous êtes mon sang!
Vous qui êtes mortel et inferieurs vous battant contre le temps
Contre moi qui suis immortel passant les siècles en virevoletant
QUE COMPTEZ VOUS FAIRE ALLER CONTRE VOTRE DESTINE???
Alors que votre chance a été de me rencontrer
Je ceuillerai votre rose à la fraicheur d'une matinée
Ainsi, jamais ellene se fanera et vous serez cristalisée
dans la mémoire de ceux qui vous entourent
NE ME REMERCIEZ PAS A VOTRE SERVICE, JE VOUS FAIT LA COUR
Afin que vous veniez chaude et frémissante de désir
Et que je vous prenne lentement pour votre plaisir
Pour qu'enfin je sente le sang bruler dans ma gorge
Que je vous vide et que vous m'en demandiez encore
PUIS ENFIN A L EXTASE JE LAISSERAI VOTRE CADAVRE
POUR QUE DANS VOTRE MORT VOUS TROUVIEZ DE PAIX UN HAVRE
2006
La famille a disparue, l'apparence reste
ne devenir plus que la fille ou la soeur de
Etrange sensation comme c'est hazardeux
de penser que les liens peuvent lacher du leste
Tristesse de ne voir que des pensée vers toi
Je ne parle pas de t'oublier mais de vivre
Et je ne demande a personne de me suivre
Mais le bonheur a plus que cessé sous ce toit
Je me sens étrangère et te demande en vain
Comment faire couler la vie comme le vin
Je n'ai fait ton deuil et te pleure chaque jour
Je t'aimerai toujours mais où est parti mon père,
Celles qui me sont chères, mon coeur se serre
de constater autours ne coule plus l'amour
06/2007